OCTOBRE ROSE

Et si on en parlait. C’est le mois idéal pour poser des mots sur cette maladie.

Dernièrement, j’ai eu le sentiment que le cancer du sein a rendu visite à plus de femme que les années précédentes. (Je n’ai pas de stat. et je n’en chercherai pas.) 😉

J’ai envie d’échanger mon retour personnel sur ce sujet.

Tout d’abord, il a touché ma maman.

En 2020, j’ai appris que ma mère avait un cancer du sein. La première chose à laquelle j’ai pensé c’est : « oh non ! pas ma maman, je ne veux pas la voir souffrir »

Et Elle s’est lancée dans le protocole médical, elle a suivi le rythme. Tout c’est enchainé très vite, mais le traitement a semblé interminable.

Au cours de ces mois de traitement, je l’ai vu accepter, accueillir cette maladie. Elle ne parle pas de bataille. Elle parle juste d’accueil.

Elle est passée par beaucoup d’émotion, dont la première la colère. « pourquoi moi? »

Elle l’a vu comme une ascension vers le sommet d’une montagne, avec les différentes étapes à franchir, accepter et vivre avec la maladie, que rien n’est perdu, qu’il faut rassembler toutes ses forces et être déterminé pour arriver au sommet. Quand elle a accueilli et accepté la maladie, elle a lâché prise.

Je l’ai trouvé : courageuse et juste. Elle a su se remplir de positif. Elle a pris confiance en elle et en la vie.

Elle a pris conscience de beaucoup de choses, qui lui sont personnels, et aujourd’hui, elle est guérie. J’ai face à moi, une femme qui profite de la vie. Elle voyage, elle prend soin d’elle, elle s’écoute.

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Et puis, il y a une amie, 35 ans, même verdict. C’est repartie !

Décembre 2022, j’apprends qu’une de mes meilleures amies va vivre la même expérience que ma mère. Sa réaction est différente, mais la volonté est la même.

Des prises de conscience se posent en elle, un cheminement qui s’ouvre. La maladie ne prévient pas. Elle trouve important d’être suivi par les professionnels de santé.

Et vu que le protocole est long, elle sent que les soutiens physiologiques et psychologiques sont importants pour elle.

Elle utilise les méthodes douces pour l’aider. Je la cite « la sophrologie m’a permis de me recentrer, de m’apaiser et de me poser »

Elle avance bien, sereinement, elle continue son chemin. Je suis fière de son parcours. Bientôt la fin de ce traitement…

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« On est tous susceptible d’être touché par cette maladie.« 

Quand elle est là, il faut savoir s’entourer. Le corps médical est là. Mais il y a tellement de choses qui peuvent nous aider à passer cette étape.

La naturopathie, L’énergétique, le magnétisme, la sophrologie, l’hypnose et j’en passe…

Je voulais vous parler de la sophrologie, car c’est le domaine que je maîtrise le plus avec l’hypnose.

La sophrologie va vous apporter un calme, une énergie positive pour vous donner l’envie de vivre et de continuer. La sophro utilise des visualisations positives de la vie, et en utilisant la respiration, on se remplit de joie, de confiance. La respiration vient poser les choses, adoucir le traitement.

Il est important d’accueillir toutes ses émotions qui vous traversent pendant le traitement, pour ainsi lâcher prise et avancer plus sereinement.

C’est aussi apprendre à mieux gérer les opérations, la chimio, les rayons…

Si le cancer est là, il faut l’accueillir pour mieux lui dire au revoir et à jamais

Et ce qui me plaît dans la sophrologie, c’est la douceur des séances. Et c’est important dans ces moments-là.

L’hypnose quant à elle, va venir discuter avec votre inconscient, pour réparer ce qui doit l’être.

Elle va agir en douceur pour vous aider à avancer sur votre chemin de vie. L’hypnose peut être mise en place pour les angoisses, les peurs, les prises de conscience et votre cheminement vers vous-même.

10 octobre 2023 0 Commentaire

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